CEO Talk : DIJO, le bien-être par le ventre

Bonjour Anouk et Lisa, merci d’être avec nous sur Standards. Premièrement, pouvez-vous nous raconter comment DIJO est né ?

Anouk : Alors la genèse de DIJO est venue d’une histoire personnelle. En effet, je suis tombée malade en 2018 avec de gros problèmes de thyroïde. Lisa, qui est mon amie d’enfance et à qui je raconte mes problèmes, me conseille alors de prendre des probiotiques qu’elle prend elle-même dans le cadre de sa pratique de la course à pieds. À ce moment-là j’enchaînais les traitements hormonaux, j’avais vraiment du mal à me sentir bien même avec les médicaments prescrits, je me sentais toujours autant fatiguée, même si cela aidait ma thyroïde ; ma vie au quotidien n’était vraiment pas simple. Puis avec la prise de probiotiques qui m’a aidé à mieux prendre soin de mon ventre, j’ai vu une réelle amélioration dans ma vie de tous les jours et j’ai ainsi pu mieux vivre avec mes symptômes et ma pathologie. C’est ainsi que nous avons eu le déclic de lancer DIJO.

Nous sommes parties du constat que nous ne savons pas forcément comment prendre soin de notre ventre, c’est un sujet tabou où il n’existe pas vraiment de produits dédiés alors que c’est une machine hyper technique connectée à pleins d’organes en interdépendance où vit notamment ce fameux microbiote : ces milliards de bactéries qui colonisent nos intestins et qui ont pleins de pouvoirs magiques !

Aujourd’hui malheureusement nous avons un mode de vie qui malmène cet éco-système bactérien notamment à cause de l’alimentation transformée, de la prise de médicaments à répétition, de la pollution… Notre microbiote comparé par exemple à celui de nos grands-parents ou de nos arrières grands-parents, est largement appauvri. Et c’est donc à partir de cela que nous avons conçu notre premier produit DIJO : une cure de probiotiques qui a été pensée avec des standards de qualité beaucoup plus élevés que ceux présents sur le marché français. Notre but était simple : concevoir la meilleure cure de probiotiques possible !

A qui conseillerez-vous DIJO ?

Lisa : On va forcément conseiller DIJO à tout le monde car aujourd’hui nous avons toutes et tous un mode de vie qui a un impact direct sur notre ventre et de ce fait, qui va avoir des répercutions sur l’ensemble de la santé. Les premiers symptômes passent bien évidemment par la digestion mais cela peut aller au-delà comme un état de fatigue, un état de stress etc. Et il est vrai que la prise de probiotiques va permettre de renforcer son microbiote et c’est notamment très intéressant de le faire en prévention. C’est pour cela que nous avons travaillé la marque comme un produit de beauté et de bien-être et que nous ne souhaitions pas que celle-ci soit perçue comme un médicament.

En effet, on trouvait déjà des probiotiques en pharmacie, qui étaient certes, de moins bonne qualité mais au-delà de ça, qui étaient vraiment pris comme des médicaments. Et nous avons vraiment voulu transformer cette prise de probiotiques en un geste de bien-être ; et au passage de la préconiser à tout le monde même aux personnes qui n’ont pas de symptômes au moment T, mais plutôt d’envisager cela tous les trois mois, à chaque changement de saison. Cela va permettre de rééquilibrer et de renforcer son microbiote et de justement ne pas attendre d’avoir des symptômes et des gênes au quotidien. Donc on va vraiment s’adresser à des personnes qui sont dans l’optique de mieux-être, qui sont souvent déjà intéressées par l’alimentation et par une routine sportive, comme on va s’adresser à des personnes qui ont pour le coup plus des profils pathologiques puisqu’il y a beaucoup de maladies inflammatoires au niveau du ventre, des maladies qui se diagnostiquent très mal et pour lesquelles il n’y a pas forcément de traitement avéré comme le syndrome de l’intestin irritable, la maladie de Crohn et également des personnes atteintes d’endométriose. Donc on a vraiment ces deux typologies de client·e·s : des personnes qui sont dans l’optique de prendre soin d’elles et des personnes qui ont plutôt des symptômes installés au quotidien.

Quel est votre premier geste beauté du matin ? 

Lisa : Alors mon premier geste beauté / bien-être du matin c’est bien évidemment ma prise de probiotiques ! Ensuite, côté produit de beauté, j’aime beaucoup utiliser une eau florale. Mais le geste qui est vraiment indispensable et que je recommande, c’est de boire au réveil un grand verre d’eau. En effet, c’est pendant la nuit que le foie travaille pour éliminer les différentes toxines et il est donc super important de bien s’hydrater le matin – c’est le geste numéro 1 !

Avez-vous un produit beauté qui ne vous quitte pas d’année en année ?

Anouk : Alors de mon côté j’utilise depuis des années la Crème Universelle Oh My Cream Skincare et c’est vrai que l’on est toutes les deux hyper attirées par l’approche faite par Oh My Cream en terme d’expérience client et de conseils ; je suis donc très attachée à leur crème que j’utilise le matin et le soir – c’est mon indispensable « peau confortable ».

Lisa : C’est vrai que lorsqu’on a lancé DIJO, Anouk habitait aux Abbesses et donc on travaillait beaucoup dans ce coin-là et l’on passait notre vie chez Oh My Cream ! On était passionnées par leurs boutiques et par toute l’expérience client qui est vraiment incroyable. C’est vraiment les conseillères Oh My Cream qui nous ont éduqué sur pleins de gestes beauté notamment sur le double nettoyage. Et c’est vrai que comme Anouk, depuis 3 ans et demi / 4 ans, c’est la crème de jour Oh My Cream Skincare qui ne me quitte pas. On est donc vraiment ravies que DIJO soit vendu depuis janvier dans toutes les boutiques Oh My Cream !

Notre thème du mois de février étant « Face Focus », pouvez-vous nous expliquer en quoi les probiotiques agissent-ils directement sur la qualité de notre peau ?

Lisa : On a découvert le rôle du microbiote dans la digestion mais comme on l’expliquait, ces bactéries agissent à pleins de niveaux et on a notamment découvert un axe intestin-peau. Donc effectivement l’équilibre de ce microbiote va jouer sur l’équilibre du microbiote de notre peau car il existe aussi tout un écosystème au niveau de la peau ; ce premier axe qui est cet équilibre intestinal et cette bonne santé du ventre va avoir directement un impact sur la peau et c’est aussi pour ça que l’on parle de « bons aliments pour la peau », car ces derniers vont apporter les bons nutriments qui in fine vont pouvoir avoir une action sur la peau car ils passent par les intestins. Ensuite, la deuxième chose qui est très importante à savoir, c’est que la peau est un organe emonctoire, et qu’elle est par définition, en charge d’éliminer les toxines. Quand on a un microbiote qui est en mauvaise santé, celui-ci va mal gérer les agents pathogènes et les mauvaises bactéries et par conséquence, moins bien prendre en charge l’élimination des toxines. Cela impacte beaucoup de choses mais globalement le résultat est que l’on se retrouve avec un organisme qui est surchargé par des déchets des toxines puisque nous ne sommes plus en capacité de bien les traiter, le corps trouve un autre moyen de les éliminer. Conséquence, cela passe par la peau et c’est donc pour cela que généralement lorsqu’on a des périodes d’excès, on va avoir des imperfections, une peau qui est moins belle, moins éclatante. Donc c’est vraiment par ces deux biais que la santé du ventre va agir sur la peau.

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